À l’inverse, Nina Sellier, qui vient de créer son entreprise de peinture, décoration et sols, a été en apprentissage puis a su se faire accompagner à la création par les services de la chambre. Elle vient s’informer sur les formations, sur le numérique notamment. « L’enjeu, c’est de se faire connaître. Il me faut un site internet par exemple ».
Chaque année, la chambre de métiers accompagne 1.000 créateurs d’entreprise et accueille quelque 2.000 artisans pour des formations.